TeenAIDS PeerCorps

L' épidémie de TeenAids (SIDA Adolescent) grandit dans le monde entier

          Contrairement aux révélations exagérées qu' annoncent les medias, John Chittick rappelle au public que la science n'a toujours trouvé aucun traitement ou vaccin pour enrayer le VIH/SIDA. Même les nouveaux medicaments soit-disant "miracle" ne parviennent que partiellement à empêcher le virus du Sida de se développer complètement. " 11 y a 18 ans que cette épidémie existe, et le nombre d' adolescents affectés du VIH a largement augmenté. Le problème est que la plupart d' entre eux ne savent pas qu' ils sont séropositifs parce qu' ils ne se font jamais tester. Les adolescents se croient souvent invincibles et rarement affectés par les probleèmes d' adultes. Nombreux sont ceux qui avouent avoir le goût du reisque. C' est bien simple, les jeunes ne se sentent pas concernés par le SIDA, ni eux, ni leurs amis."
          Lorsqui' il était à l' université de Harvard, où il a commencé sa recherche sur les problèmes du SIDA chez les adolescents (TeenAIDS) en 1988, John Chittick avait prédit qu' une troisième vague de VIH/SIDA chez les adolescents sexuellement actifs se declare-rait avant le tournant du siècle. Des rapports récents de UNAIDS, ainse que plusieurs recherches effectuées indépendemment, ont révélé qu' un pourcentage important des cas actuels de VIH se declare parmi les adolescents. Le nombre de maladies transmises sexuellement (STDs) continue aussi d'augmenter, en Amérique et au niveau mondial. A la recherche de meilleures conditions de vie, de travail et de stabilité politique, et capables de se déplacer plus facilement, les jeunes partent vers de nouveaux pays. Des types plus résistants du VIH se développent et sont transmis aà d' innocents partenaires dan le monde entier.
          "Le seul remède est l' éducation sur le SIDA, déclare Chittick, et elle doit être basée sur des données medicales." Bien que certaines pratiques plus sûres du comportement sexuel, comme l' utilisation de préservatifs, ne constituent pas une garantie totale contre le SIDA, (les preservatifs varient en qualité et peruvent se déchirer), il recommende aux adolescents dont "les amis ont des rapports sexuels de les pousser aà être conscients des risques de VIH/SIDA. S' ils veulent malgré tout s' engager dans un rapport sexuel, dites-leur qu'il est moins risqué de le faire en utilisant des préservatifs." Dr. Chittick insiste sur le message de responsablilité personnelle et d' éducation entre pairs afin d' enrayer la propagation du VIH/SIDA parmi les jeunes. Il alerte egalement "les adultes qui, croyant que leurs enfants n'ont pas de rapports sexuels sans protection, ne sont pas réalistes. Mieux vaut préparer vos enfants à faire face à l' influence de leurs contemporains telle qu' elle existe dans notre société, et ne pas ignorer un problème réel qui pourrait rapidement ecourter leur vie."
          UNAIDS, l' organisation internationale la plus importante sur le SIDA, a determiné qu' aujourd' hui, un quart des nouveaux cas de SIDA se déclare parmi les jeunes de moins de vingt ans. Il y a dix ans, ce nombre était à un sur dix mille. TeenAIDS est une réalité pour tous les adolescents sexuellement actifs.

PeerCorps: Qu'est-ce que c'est?

          L'éducation entre pairs est une méthode de plus en plus utilisée pour limiter certaines tendances de comportement à risque parmi les jeunes. Certains programmes scolaires créés pour éliminer les abus d' alcool et de drogue ont du des résultats plus ou moins positifs. Cependant, ces programmes traitent de problèmes immédiats dan la vie des adolescents, et non pas de problèmes tels que le VIH/SIDA où plusierus années peruvent s' écouler entre l' infection du VIH et le véritable SIDA. C' est est pourquoi un programme de prévention efficace purles jeunes, entre eux, doit être créé afin de les les persuader d' éviter les rapports à grand risque, et cela à long terme.
          Les adolescents avouent qui'ls ne se sentent pas assez à l'aise avec les adultes pour parler de sujets intimes et personnels, tels que leur sexualité. Ils préfèrent en parler entre eux. Cependant, cette tendance typique à discuter entre jeunes peut etre une source de problems à l'âge du TeenAids. Les jeunes ne sont pas tous infromes des faits médicaux sur la transmission du VIH. De plus, l' influence de leurs contemporains les incitent souvent à experimenter sexuellement. TeenAIDS-PeerCorps,Inc. a développé et testé un programme original pour les jeunes et leurs pairs, basé sur la recherche en profondeur de Dr. Chittick aà Harvard. "Les jeunes doivent d' abord prendre conscience du véritable danger et ensuite, avoir le pouvoir de s' informer sur les faits et de transmettre le message à leurs camarades", déclare Chittick. Il en resulterait que cette diffusion du message de prévention d' un adolescent à l' autre, et ainsi de suite, pourrait sauvegarder tout une génération. C'est une idée simple mais plus efficace que celles que l'on prône aux jeunes du haut d' un point de vue purement adulte.
          Des stages de formation de PeerCorps sont offerts en Amérique et dans le monde entier. Dr. Chittick anime souvent ces stages luimeême. Des informations à ce sujet peruvent être obtenues gratuitement sur le site internet indiqué ci-dessours.http://teenaids.org/foreignfrench.htm